Toujours plus proche de Pâques, restons à l’écoute de la Parole de Dieu !
LECTURE DU LIVRE DU PROPHETE ISAÏE
Ainsi parle le Seigneur : Au temps favorable, je t’ai exaucé, au jour du salut, je t’ai secouru. Je t’ai façonné, établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays, restituer les héritages dévastés et dire aux prisonniers : « Sortez » ! aux captifs des ténèbres : « Montrez-vous » ! Au long des routes, ils pourront paître ; sur les hauteurs dénudées seront leurs pâturages. Ils n’auront ni faim ni soif ; le vent brûlant et le soleil ne les frapperont plus. Lui, plein de compassion, les guidera, les conduira vers les eaux vives. De toutes mes montagnes, je ferai un chemin, et ma route sera rehaussée. Les voici : ils viennent de loin, les uns du nord et du couchant, les autres des terres du sud. Cieux, criez de joie ! Terre, exulte ! Montagnes, éclatez en cris de joie ! Car le Seigneur console son peuple ; de ses pauvres, il a compassion. Jérusalem disait : « Le Seigneur m’a abandonnée, mon Seigneur m’a oubliée. » Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas.
COMMENTAIRE
Voici le temps favorable, voici le jour du salut. Si tu te sens comme un exilé, un assoiffé, si tu te sens comme Israël au temps d’Isaïe coupable d’avoir abandonné l’Alliance, d’avoir été infidèle, si te sens captif de ton péché et de ta fragilité, le Seigneur te le redit : non, il ne peut pas t’oublier. « Même si une femme oubliait le fils de ses entrailles, moi, je ne t’oublierai pas ». Rien ne peut effacer l’amour de Dieu. Rien ne peut empêcher Dieu de t’aimer à la folie, de te faire revenir de ton exil, aller te chercher au bout de ta culpabilité et de tes égarements. Rien ne peut empêcher Dieu de nous offrir sa joie. Alors, entendons aujourd’hui le cri d’Isaïe : « Sortez », « Montrez vous ! ». Oui, sortons, prenons le temps de nous redire combien Dieu est bon, combien il nous aime ! C’est pourquoi, aujourd’hui, au boulot ou à la maison, dans la rue ou à l’école, osons être en sorti. Allons vers celui qui est abattu, qui est triste, qui est loin de chez lui, le copain qui a un coup de moins bien. Allons vers lui, passons un coup de fil et par notre écoute et notre prière, anticipons la joie de Pâques en manifestant la consolation de Dieu pour chacun.
PRIERE DU JOUR
Seigneur nous te prions pour les enfants dans le monde qui n’ont pas la chance d’aller à l’école.
Carême 2021 : Méditation du 16 mars
Toujours plus proche de Pâques, restons à l’écoute de la Parole de Dieu !
LECTURE DU LIVRE DU PROPHETE ISAÏE
Ainsi parle le Seigneur : Au temps favorable, je t’ai exaucé, au jour du salut, je t’ai secouru. Je t’ai façonné, établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays, restituer les héritages dévastés et dire aux prisonniers : « Sortez » ! aux captifs des ténèbres : « Montrez-vous » ! Au long des routes, ils pourront paître ; sur les hauteurs dénudées seront leurs pâturages. Ils n’auront ni faim ni soif ; le vent brûlant et le soleil ne les frapperont plus. Lui, plein de compassion, les guidera, les conduira vers les eaux vives. De toutes mes montagnes, je ferai un chemin, et ma route sera rehaussée. Les voici : ils viennent de loin, les uns du nord et du couchant, les autres des terres du sud. Cieux, criez de joie ! Terre, exulte ! Montagnes, éclatez en cris de joie ! Car le Seigneur console son peuple ; de ses pauvres, il a compassion. Jérusalem disait : « Le Seigneur m’a abandonnée, mon Seigneur m’a oubliée. » Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas.
COMMENTAIRE
Voici le temps favorable, voici le jour du salut. Si tu te sens comme un exilé, un assoiffé, si tu te sens comme Israël au temps d’Isaïe coupable d’avoir abandonné l’Alliance, d’avoir été infidèle, si te sens captif de ton péché et de ta fragilité, le Seigneur te le redit : non, il ne peut pas t’oublier. « Même si une femme oubliait le fils de ses entrailles, moi, je ne t’oublierai pas ». Rien ne peut effacer l’amour de Dieu. Rien ne peut empêcher Dieu de t’aimer à la folie, de te faire revenir de ton exil, aller te chercher au bout de ta culpabilité et de tes égarements. Rien ne peut empêcher Dieu de nous offrir sa joie. Alors, entendons aujourd’hui le cri d’Isaïe : « Sortez », « Montrez vous ! ». Oui, sortons, prenons le temps de nous redire combien Dieu est bon, combien il nous aime ! C’est pourquoi, aujourd’hui, au boulot ou à la maison, dans la rue ou à l’école, osons être en sorti. Allons vers celui qui est abattu, qui est triste, qui est loin de chez lui, le copain qui a un coup de moins bien. Allons vers lui, passons un coup de fil et par notre écoute et notre prière, anticipons la joie de Pâques en manifestant la consolation de Dieu pour chacun.
PRIERE DU JOUR
Seigneur nous te prions pour les enfants dans le monde qui n’ont pas la chance d’aller à l’école.